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mercredi 29 mars 2017

Ecotrail 2017 - 45km : 2 Avant le départ

Voici la suite des articles consacrés à l'Ecotrail 2017 - 45km....

Une fois de plus, Zébulon, un ami collègue, a décidé de m'accompagner afin de marquer le coup (une course de 50 45 km pour mes 50 ans...).
Et nous voici donc dans les jardins du château de Versailles, sur l'aire de départ de l'Ecotrail 45 km.


Nous profitons de l'ambiance qui y règne et les photographes s'en donnent à coeur joie.

Et d'autres en profitent pour faire des selfies...

se prennent en photo à l'image de ce groupe d'amis posant fièrement.

Et nous-même, nous nous prêtons au jeu et posons devant le château de Versailles que l'on aperçoit en arrière plan.

L'ambiance est bien détendue et nous en profitons pour nous amuser en faisant les photos.

Après avoir profité de l'ambiance et avoir préparé nos affaires, il est temps pour nous de nous rapprocher de l'aire de départ....

Retrouvez ici les galeries Flickr des photos ayant illustrées cet article : 
  1. Avant le Départ
  2. Zebulon & Maya

mardi 28 mars 2017

Ecotrail 2017 - 45km : 1 Préambule


L'Ecotrail de Paris est une course que j'affectionne tout particulièrement, elle permet à celles et ceux habitant la région parisienne de s'essayer au trail.
Je dis bien s'essayer car même si la distance est bien présente, il faut dire que niveau dénivelé, nous sommes bien loin d'atteindre celui d'autres grosses courses. Ainsi, il y a 900m D+ sur le parcours de 45 km et 1500m D+ sur celui de 80 km.

Pour les habitués au trail, ces chiffres peuvent paraître faibles mais pour un coureur parisien, c'est déjà bien afin de se faire un petit avant-goût.

Petit flashback sur mes participations :

En 2011, j'avais participé au 50 km, voici la série d'articles écrits pour l'occasion : Ecotrail 2011

A l'époque, je n'avais jamais dépassé la distance marathon sur une course, donc pousser un peu plus loin ne me faisait pas peur.
 
Mais voilà, étant habitué à l'époque, à ne courir que sur route, j'avais effectué toute ma préparation en ne courant que sur route ou sur des piste de stade.
Grosse Erreur !! Je l'ai tout de suite payé !! Sujet évoqué à l'époque dans un article consacré au bilan de ma course : Bilan Ecotrail 2011


Mais j'avais malgré tout apprécié la course et l'année suivante, nouvelle inscription à l'Ecotrail de Paris !
Mais cette fois sur le 80km ! Un gros morceau !
Une arrivée au 1° étage de la Tour Eiffel qui me faisait bien envie, mais 80km tout de même !!

Autant passer de la distance marathon au 50km, ne représentait pas grand chose, et passer de 50 à 80km, représentait pour moi presque un grand écart.
Et les abeilles ne sont pas particulièrement connues pour leur grande souplesse...

En 2012, donc en route pour le 80km, et pour l'occasion, un collègue Zebulon a tenu à m'accompagner.
 
Et nous avons fait la course ensemble de bout en bout.
Ma série d'articles : Ecotrail 2012.

A nouveau, une belle expérience. Mais si ce fut plus de 12h d'effort, cela reste malgré tout un bien agréable souvenir.

Malheureusement, il y eu ensuite une blessure qui m'empêcha de courir, et pour les éditions de 2013, de 2014 et de 2015, tenant malgré tout à profiter de l'ambiance de course, je suis allé photographier les coureurs et les coureuses.

Après une longue interruption, je me suis remis à courir, et très progressivement j'ai rallongé les distances.
 
L'Ecotrail me faisait les yeux doux mais je devais rester raisonnable.
 
Toujours par souci de me préserver et également afin de tester la machine en 2016 (l'année dernière donc), je me suis inscrit sur le... 30 km.

Oui, le 50 km me paraissait alors un peu présomptueux.

Cette année, étant l'année de mes 50 ans, c'est tout naturellement que je m'étais dis, que je participerai au 50 km !!
Mais manque de chance, cette année le parcours ne fera que 45 km (on pourra donc faire comme si j'avais rajeuni..)

Voici donc la série d'articles consacrés à l'Ecotrail 2017, le 50 45km !!

jeudi 16 mars 2017

En attendant l'édition 2017, retour sur l'Ecotrail 2016 : 3 Après l'arrivée


La course est désormais terminée en ce qui me concerne. La température est un peu fraîche moins de 10° mais ça va et ne souffrant d'aucune fatigue. Mon corps est certes un fatigué mais globalement je me sens bien, je décide donc de rester sur l'aire d'arrivée et de profiter de l'ambiance qui y règne.

De nombreux sourires se dessinent sur les visages des participants ayant terminé leur course (Je n'ose évoquer le terme de Finisher vu la petite distance...). 

Mais je suis malgré tout surpris de constater qu'il y a autant de personnes emmitouflées dans leur couverture de survie.

A l'image de ces deux concurrentes qui tous en ce congratulant d'avoir terminé leur course, en profite également afin de se réchauffer l'une l'autre.
Un photographe de la marque Isostar, prend en photo gratuitement les coureurs et les coureuses qui le souhaite. Bien évidemment, je prend place dans la file d'attente afin d'immortaliser cet instant...


Même si je ne suis pas du genre à me prendre en selfie et que mon égo ne m'incite guère à poster des photos de mon auguste personne, il faut tout de même avouer qu'avoir une petite photo souvenir (et gratuite de surcroît) est bien agréable. Sur la photo précédente le photographe Isostar est à droite et à gauche, une femme en profite pour prendre ses amies en photos.
J'adore prendre des photographes en photo et là c'est du 2 en 1 !

Je pars ensuite en direction du Centre Sportif Émile Anthoine, situé non loin, près de la station du Rer C Bir-Hakeim. Je souhaite saluer une bénévole que je rencontre régulièrement sur les courses.
Je vous avais déjà parlé d'elle (10km Paris 10 : Merci les bénévoles), je l'avais croisé du temps où j'effectuais des courses duo avec le fiston et elle était également au courant de mon souci au genou. Je tenais donc à la rassurer et lui dire que tout allait bien.


Une grande tente à l'intérieur de laquelle, un ravitaillement était proposé aux coureurs se situait dans l'enceinte du stade. Il était possible de se voir servir une bonne petite soupe chaude !
C'est toujours un régal d'avoir ainsi une bonne boisson chaude après une course. Après avoir un peu échangé avec la bénévole, je suis allé me changer dans l'enceinte du stade mis à disposition des coureurs.

Une bien belle journée s'est ainsi achevée non sans penser aux coureurs et coureuses inscrits sur le 50 et 80 km qui eux étaient toujours en course.

Retrouvez les photos ayant illustrées cet article dans la galerie Flickr : Ecotrail 2016 - 2 Après l'arrivée.

En attendant l'édition 2017, retour sur l'Ecotrail 2016 : 2 La course

Suite de mon Ecotrail 2016...

Après la 1° partie Avant course, place maintenant à la course...


Comme toujours, c'est avec entrain que je m'élance. Trop content de pouvoir à nouveau participer à une course.
Je pars sur une allure tranquille en essayant de ne pas trop m'emballer.

La procession de traileurs se met en route. L'ambiance est légère, peu de difficultés sur le parcours, certains poursuivent tranquillement leur conversation.
En ce qui me concerne, j'avance sans rien dire, les jambes répondent bien.

Sur certains chemins, je suis sidéré de constater que des gels et autres emballages ont été jetés au sol. Disons qu'ils ont malencontreusement glissé de la poche...
Surtout que l'organisation a fourni une petite poubelle à accrocher sur soi. Donc, aucune excuse pour ceux qui jettent ainsi les déchets au sol.
De plus, sur un parcours de 30km et avec 600m de D+, inutile de partir le sac chargé de victuailles en tout genre. A voir la quantité de déchets, c'est à croire que certains prennent un gel à chaque kilomètres !! Pff !!

Pour reprendre une phrase bien connue :
Il n'’existe que deux choses infinies : l'’univers et la bêtise humaine… mais pour l'’univers, je n'’ai pas de certitude absolue.
(Phrase d'Albert Einstein, qui avait également de l'humour pour celles et ceux que cela intéresse...)

Sur le parcours de 30km, il n'y a en tout et pour tout que 2 postes de ravitaillement.
Et qui dit postes de ravitaillement, dit également barrières horaires, et la dessus pas de stress. Sauf gros souci, il n'y a pas lieu de s'en inquiéter.
Je n'ai même pris la peine de les noter ! A moins d'avancer à cloche pied ou en moonwalk, pas de souci.

Ayant déjà fait le parcours de 50 km en 2011 puis le 80 km en 2012, je sais donc à quoi m'attendre au niveau du parcours, car les courses empruntent presque le même parcours pour la portion finale.
Et comme à chaque fois, la dernière partie du parcours est celle que j'apprécie le moins, je m'y prépare psychologiquement.
Pour une arrivée au pied de la Tour Eiffel, il est donc nécessaire d'effectuer une partie en zone urbaine.

Etant donné, qu'il n'a pas plu depuis de nombreux jours, c'est avec mes fidèles chaussures de running, mes Saucony Triumph ISO que je déambule sur ce parcours sans réélle difficulté technique.
Sur les sentiers secs, l'accroche est bonne, aucun appui fuyant.
Et une fois en partie urbaine, j'apprécie leur confort et leur amorti et elles m'aident ainsi à apprécier un peu plus cette partie, où l'on emprunte des trottoirs, des escaliers en descente comme en montée.
De plus, les quelques passants croisés, semble nous prendre pour des extra terrestres. Encore heureux que l'arrivée s'effectue de jour, car voir les coureurs du 50 km et ceux du 80 km avec leur frontale sur le front peut vraiment donner cette impression.

Après l'allée aux cygnes, je lance un grand merci aux bénévoles qui assurent la circulation afin de permettre aux coureurs et aux coureuses de traverser en toute quiétude.
Et une fois, au niveau du jardin de Bir-Hakeim, la voix du speaker se fait plus précise, et bien sûr, une petite euphorie me gagne et m'incite à accélérer.
Et comme toujours, j'essaye de tout donner afin de me faire plaisir en accélerant.
(Vous remarquerez ce besoin qu'ont certains coureurs d'accélérer et de tout donner à l'approche de l'arrivée, alors qu'aucun podium n'est à espérer et que cela ne changera absolument rien au classement sur la course.
Lorsque l'on se trouve dans le meilleur des cas en milieu de peloton, gagner quelques places ne sert absolument à rien. Mais qu'importe, on accélère, on se met à courir comme un dératé comme si notre vie en dépendait. Histoire de se dire que l'on a tout donné.
Oui c'est une question de survie, courir pour survivre, pour ne pas se retrouver dans les abysses du classement.)

La ligne d'arrivée est franchie et je suis content. La course s'est bien déroulée et je suis plutôt satisfait de mon humble prestation.

Les 30 km et 600m de D+ ont été parcourus en 3h30. En regardant le détail de ma trace, je constate que certaines portions (courtes, il faut bien l'avouer) ont été couru à une vitesse de 14km/h !!
Je ne pensais pas que cela puisse être à nouveau possible. Etant donné que je suis plus habitué à une allure tranquille, se rapprochant plus d'une allure de tortue sous ecstasy portant un casque audio déversant de la techno hardcore à un niveau sonore plus que déraisonnable !!

Pas de fatigue particulière, mon genou a bien tenu (il faut dire que j'ai été gentil avec lui, afin de ne pas le solliciter plus que de raisons). J'arrive relativement frais, guère entamé par l'effort fourni. 

Donc le petit Maya est relativement satisfait de sa course.

mercredi 15 mars 2017

En attendant l'édition 2017, retour sur l'Ecotrail 2016 : 1 Avant course


Le samedi 18/03/2016 avait lieu la 9° édition de l'Ecotrail de Paris.

Après une participation en 2011 sur le 50 km, et 80km en 2012. Une blessure au genou m'interrompit dans mon élan.

Et afin de tester mon genou, je décidai de prendre part au 30km, le 18km me semblant être une distance trop "courte" afin de me vérifier la "forme" de mon genou. De plus, étant donné le faible dénivellé sur le 30 km : 600m D+, cela me semblait donc parfaitement jouable.

L'organisation avait vraiment bien fait les choses, sur le site de la course les horaires des trains pour se rendre sur le départ étaient indiqués. Même si cela semble anodin pour beaucoup, c'est un petit détail que j'apprécie.
Le jour de la course, en prenant le train à destination de Meudon, devant le nombre de coureurs présents dans le wagon, j'avais l'impression que l'organisation avait affrété un train pour la course.
Le train était bondé et le taux de coureurs dépassait allègrement les 90 %. Les usagers habituels de la ligne devaient se demander les raisons d'une telle invasion de coureurs.

Une fois à Meudon, pas de questions à se poser, on suit la longue procession de traileurs. Tout le monde va dans la même direction. L'aire de départ accueille les coureurs, des gentils bénévoles préparent et servent un petit déjeuner chaud !
Au menu, café, thé, quatre quart et autres petits gateaux... Miam, il y a profusion de victuailles. Les coureurs et les coureuses sont bien chouchoutés avant de partir gambader sur le parcours.
De même, pour celles et ceux qui auraient abusé de boissons chaudes ou un peu "stressé" avant la course, des toilettes sèches ont été installées. Eh oui, écologie oblige !! Il y a également des pissotières pour les hommes, mais être côte à côte de personnes pour ce genre de chose ne m'enchante guère...
Du coup, armé d'un pot empli de sciure de bois, j'ai également contribué à faire un geste pour l'environnement.

La course de 30km comptant 2618 partants (2586 finishers), le départ s'est effectué par vagues et afin de profiter de l'ambiance d'avant course, j'ai assisté au départ de plusieurs vagues.
Et à chaque fois, la même joie que de s'élancer et de larges sourires apparaissaient sur tous les visages.

En me promenant entre les coureurs, je remarque un traileur avec un buff qui m'interpelle.
Oui, vous avez bien lu : Dossard 512.
Il s'agit de Yohann Metay dont je vous avais parlé ici :

Une agréable surprise !!
Je profite de l'ambiance, je me promène dans les allées mais le temps est venu pour moi de prendre la direction du sas de départ...

Galerie Flickr : 1 Avant course

lundi 13 mars 2017

Fitbit absorbe Peeble, la fin de l'aventure Peeble


Il y a de cela quelques mois, je vous annoncais une bien belle nouvelle, la marque Peeble lancait une campagne sur Kickstarter
Bien sûr, j'avais participé à ce lancement en investissant pour la peeble time 2, une montre connectée et pour le Core un beau petit boitier tracker gps...

Oui, j'étais bien content et j'avais bien sûr hâte de recevoir mes nouveaux jouets !!

Depuis la mise en ligne de cet article en mai 2016, je n'avais de cesse de suivre les annonces. La livraison des montres peeble 2 étaient prévues pour courant septembre 2016 et les Core pour le début de l'année 2017.

Mais voilà, le scénario initialement prévu s'est déroulé d'une toute autre manière.L'histoire a été légèrement remaniée...

La société Fitbit connue pour ses montres et tracker d'activités a racheté la société Peeble. Bon, jusque là rien de bien nouveau, cela arrive de temps à autre.
Mais cette fois, la différence est que Peeble cesse toute activité et n'existera donc plus. Heureusement le personnel de Peeble va demeurer (du moins j'espère qu'il en sera ainsi pour la majorité du personnel).
Le but de Fitbit étant de récupérer les compétences de Peeble pour les faire oeuvrer sur les produits Fitbit.
Et, afin de ne pas s'encombrer avec une marque qui n'existe désormais plus, la production des produits est purement et simplement stoppée !!

Donc même si la campagne Kickstarter a été un succès, même si la production a d'ores et déjà été lancée, même si certains exemplaires sont déjà stockés dans les hangars, même si....
il n'y aura PAS de Peeble 2, ni de Core pour celles et ceux qui ont participés au financement participatif.

Bouh, triste je suis.

A l'heure où je vous écris, le remboursement a déjà eu lieu. Au moins une bonne nouvelle ! Mais récupérer sa mise, cela compense-t-il ces quelques mois d'attente
où  je me faisais une joie, avec ce nouveau matériel ?

Afin de vous faire votre propre opinion, voici différents liens d'articles évoquant le rachat de Peeble par Fitbit

De plus, signes des temps, Fitbit a depuis également racheté la société Vector (fabricants de montres connectées) : http://vectorwatch.com/fitbit.
Et Nokia a racheté la société Withings.

Non, je ne demanderai rien. Je n'attends qu'une chose. 

J'attends avec impatience les nouveaux produits de Fitbit, résultant de la synergie du travail avec les équipes de Peeble.

Affaire à suivre donc.